Dans ce même cadre, ActionAid DRC trouve que les droits de la femme sont bafoués et moins d’intérêt est accordé à l’etat psychologique surtout dans les zones de déplacement qui connaissent des troubles post-traumatiques. Les victimes des violences sexuelles présentent stresses post-traumatiques qui ralentissent leur fonctionnement normal d’intelligence et affecte leur vie productive. En cette période de COVID-19, la situation continue à se détériorer.
ActionAid DRC intègre et démontre l’importance d’une prise en charge psychothérapeutique adaptée à ces personnes, avec notamment l’intervention des assistants psychosociaux et des moniteurs de protection communautaires en collaboration avec les zones de santé partenaires. Entre autres, par manque d’information lié à la confidentialité, et manque d’autres paquets qui sont non couvert (la non prise en charge holistique), ça créer certaines barrières entre les bénéficiaires, les assistants psychosociaux apportent un soutien essentiel aux personnes traumatisées en les accompagnant dans leurs suivis psychologiques.